Le saviez-vous ?
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La névrose phobique se traduit par une peur irrationnelle et angoissante d’un objet, d’une personne ou d’une situation inoffensive, conduisant à des comportements d’évitement.
Le patient est conscient de l’absurdité de sa peur, mais reste incapable d’y faire face. Par conséquent, il instaure des mesures pour lutter contre sa phobie : objets conjuratoires, rites ou le besoin d’être rassuré par une tierce personne.
Les phobies sont classifiées en deux parties : les phobies typiques et atypiques.
Les phobies typiques revêtent plusieurs formes :
Les phobies sociales
C’est la peur persistante d’être en public, notamment de trembler ou de manger en public entraînant une situation d’évitement.
L’agoraphobie
C’est la peur liée à l’espace, notamment aux grands espaces découverts et aux lieux publics, elle conduit souvent à une crainte de sortir.
Les phobies simples
Cela va de crainte irrationnelle d’un objet jusqu’à une situation spécifique telle que la peur des transports, des hauteurs ou des animaux.
Les phobies atypiques se traduisent par :
La nosophobie
Phobie des maladies, elle correspond à une peur de la contamination par les microbes.
Les phobies d’impulsion
Peur de commettre un acte absurde, agressif ou immoral en présence d’un objet ou d’une situation particulière.
La dysmorphophobie
Idées fixes et obsédantes concernant l’aspect du corps.
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Les personnes phobiques présentent souvent certaines inhibitions, sources de passivité et d’inaction. Elles sont généralement marquées par une grande timidité et une forte émotivité. Bien que ces individus éprouvent du désir, la crainte du contact ou de la sexualité l’emporte souvent. Ils souffrent d’une forte dépendance à certains objets et particulièrement envers les personnes jugées comme sources de réconfort.
Le phobique présente des conduites d’évitement et fuit toute situation ou contact avec l’objet phobogène. Des conduites de réassurance sont également observées. Les patients ont tendance à s’entourer de personnes ou d’objets familiers, porte-bonheur ou animaux, sources de réconfort.
La névrose phobique est à différencier des névroses hystériques ou obsessionnelles. La phobie ne constitue pas une obsession. Elle survient en présence de l’objet ou de la situation phobogène, tandis que l’obsession demeure même si l’objet en question n’est pas présent.
En cas de névrose phobique sévère, un traitement médicamenteux est généralement recommandé. La psychothérapie, notamment psychanalytique, ainsi que les thérapies de groupe se révèlent bénéfiques pour les patients.
Les thérapies comportementales et cognitives (T.C.C) sont également efficaces pour atténuer les phobies.
Fiche Névrose phobique
794 psychiatres et psychologues recommandés par leurs pairs ont été identifiés par Concilio.