Le saviez-vous ?
Pas moins de 15 000 ruptures du ligament croisé antérieur ont lieu chaque année en France, ce rien que sur les pistes de ski.
Pour mettre toutes les chances de votre côté, l’équipe médicale de Concilio vous accompagne personnellement dans toutes vos problématiques de chirurgie orthopédique.
Le ligament croisé antérieur (LCA), anciennement appelé ligament croisé antéro-externe, est un ligament situé à l’intérieur de l’articulation du genou. Il forme avec le ligament croisé postérieur (LCP) le « pivot central » de l’articulation. Sa lésion survient fréquemment lors d’un traumatisme du genou, en particulier au cours de la pratique de sports tels que le ski alpin ou le football notamment.
La rupture du ligament croisé antérieur constitue un motif fréquent de consultation en chirurgie orthopédique. En effet, pas moins de 15 000 ruptures du LCA ont lieu chaque année, rien que sur les pistes de ski en France !
Cette lésion est plus fréquente chez la femme que chez l’homme, en raison de différences physiologiques et anatomiques au niveau de la forme du bassin mais également en raison des différences hormonales.
La rupture du ligament croisé antérieur s’accompagne fréquemment d’une atteinte des cartilages, d’un ou des deux ménisques, voire des autres ligaments. La tête du tibia peut également être fracturée, c’est la fracture de Segond.
La rupture entraîne une douleur brutale, un gonflement rapide du genou, la sensation éventuelle d’un craquement dans l’articulation et un dérobement générant une instabilité de l’articulation ce qui peut engendrer à terme une arthrose.
Pourquoi être bien accompagné en cas de problème de santé ?
Concilio vous permet de bénéficier du meilleur du système de santé. Notre équipe médicale vous accompagne de manière personnalisée dans toutes vos problématiques de santé.
Pour votre santé et celle de vos proches, mettez toutes les chances de votre côté avec Concilio.
Malheureusement, le diagnostic de la rupture de ligament croisé antérieur intervient trop souvent de manière tardive. Le retard moyen va de 2 à 21 mois pour confirmer le diagnostic, malgré une consultation initiale immédiatement après l’accident.
La confirmation du diagnostic peut être obtenue par IRM, mais l’IRM seul conduit à 20% de faux diagnostics.
L’arthroscopie offre le meilleur diagnostic possible, mais c’est une procédure chirurgicale qui comporte certains risques.
Dans tous les cas, un examen par un orthopédiste qualifié reste indispensable.
La rupture de ligament croisé antérieur ne guérit pas d’elle-même, contrairement aux ruptures de tendons. Une prise en charge et des soins sont indispensables.
En l’absence de soins, la destruction progressive des structures de l’articulation est inévitable, et le risque de récidive n’est pas négligeable.
Deux types de traitement sont possibles : les thérapies conservatrices et l’opération chirurgicale
Les thérapies conservatrices se basent sur la rééducation fonctionnelle afin de rétablir la stabilité de l’articulation.
L’opération chirurgicale fait le plus souvent appel à une autogreffe par arthroscopie. Ses avantages ont été démontrés, notamment pour les sportifs.
La plus grande partie des ruptures de LCA pourrait être évitée. En effet deux semaines de préparation physique incluant notamment le vélo ou la natation suffisent à renforcer l’articulation et à la mettre en condition avant de se lancer pour une ou deux semaines de ski !
Fiche Rupture du ligament croisé antérieur
1024 chirurgiens orthopédistes recommandés par leurs pairs ont été identifiés par Concilio.