Le saviez-vous ?
En 2018 le nombre de nouveaux cas de cancer diagnostiqués en France métropolitaine a été estimé à 382 000 (204 600 hommes et 177 400 femmes).1
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Le cancer du canal anal est différent du cancer du rectum. Le canal anal est la partie terminale du tube digestif. Il mesure environ 3 à 4 cm et se situe entre le rectum et la peau de la marge de l’anus. Le cancer du canal anal est plus rare que celui du rectum et son traitement diffère avec ce dernier même si les deux présentent des symptômes similaires. Il survient préférentiellement chez les femmes, et 2/3 des cancers sont diagnostiqués après 65 ans.
Le cancer du canal anal est lié à certains facteurs :
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Les manifestations du cancer du canal anal ont beaucoup de similarités avec le cancer du rectum. Les signes les plus fréquents sont : des saignements, des démangeaisons, des sensations de lourdeurs, des troubles du transit, de la constipation, une perte anale…
Les patients assimilent souvent les symptômes à celui de l’hémorroïde, retardant le diagnostic.
En cas de suspicion d’un cancer du canal anal, plusieurs examens sont nécessaires pour poser le diagnostic : un toucher rectal suivi d’une biopsie, d’une échographie endo-anale pour évaluer la profondeur de la lésion et d’un scanner abdomino-pelvien ou d’une IRM pelvienne pour visualiser l’étendue de la tumeur.
La radiothérapie ou la chirurgie est préconisée lorsque les tumeurs mesurent moins de 2 cm sans atteinte ganglionnaire. Si la tumeur est à un stade plus évolué, le traitement combine la radiothérapie et la chimiothérapie. Lorsque la tumeur envahit les organes voisins (vessie, urètre, vagin), le traitement associe la radiothérapie, la chimiothérapie et la chirurgie. Les médecins doivent procéder à une ablation totale de l’anus, de la vessie et du rectum.
La chirurgie peut être également proposée pour de petites tumeurs de la marge anale qui s’apparentent plus à des tumeurs cutanées.
Le cancer du canal anal a un fort taux de guérison s’il est dépisté à temps. Cependant, environ 10 % des patients développent des métastases. Ils doivent donc suivre une chimiothérapie très lourde associée à une radiothérapie afin de détruire les foyers cancéreux.
Fiche Cancer du canal anal
1112 oncologues recommandés par leurs pairs ont été identifiés par Concilio.