Le saviez-vous ?
En 2018 le nombre de nouveaux cas de cancer diagnostiqués en France métropolitaine a été estimé à 382 000 (204 600 hommes et 177 400 femmes).1
Pour mettre toutes les chances de votre côté face à la maladie, l’équipe médicale de Concilio vous accompagne personnellement.
En France, le cancer de l’endomètre est le deuxième cancer gynécologique le plus fréquent avec 6500 nouveaux cas par an en France. Il touche l’endomètre, c’est-à-dire le revêtement intérieur de la paroi de l’utérus. La tumeur débute généralement à partir d’une cellule de la première couche de l’endomètre, l’épithélium. Dans la majorité des cas, le cancer de l’endomètre survient après la ménopause. Cependant, environ 15 % des cas concernent des femmes non ménopausées, dont 5 % des femmes âgées de moins de 40 ans.
Les excès d’hormones œstrogènes augmenteraient le risque de développer le cancer de l’endomètre. L’obésité et l’hormonothérapie aux œstrogènes seuls peuvent accroître le taux d’œstrogènes. D’autres facteurs sont aussi impliqués dans le cancer de l’endomètre : l’âge, le surpoids, la génétique, l’obésité, l’hypertension, le diabète, le syndrome HNPCC/Lynch…
Les personnes à risque sont : les femmes en post-ménopause, les femmes dont les cycles ont débuté avant l’âge de 12 ans, les femmes avec une ménopause tardive, les femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques, les femmes présentant une hyperplasie de l’endomètre ou encore les femmes qui prennent un traitement hormonal de la ménopause.
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Le cancer de l’endomètre se manifeste par :
Il n’existe pas d’examen de dépistage du cancer de l’endomètre comme celui du cancer du sein. Le médecin réalisera donc des examens cliniques à la suite de l’apparition des symptômes cités ci-dessus, notamment les saignements gynécologiques.
Le médecin procédera à une échographie pelvienne et à une hystéroscopie pour visualiser l’intérieur de l’utérus. Une biopsie d’endomètre sera alors réalisée en cas de lésions afin de confirmer le diagnostic. Un bilan d’extension sera également effectué pour évaluer l’étendue de la maladie.
La chirurgie, la radiothérapie, l’hormonothérapie et la chimiothérapie sont les traitements possibles en cas de cancer de l’endomètre. La chirurgie est le plus indiqué pour les tumeurs localisées, c’est-à-dire qui se limitent à l’utérus. Elle est le plus souvent associée à une radiothérapie externe et/ou curiethérapie. La chimiothérapie peut aussi être associée à la chirurgie ou utilisée seule dans le cas des tumeurs avancées. L’hormonothérapie est utilisée lorsque les tumeurs ont formé des métastases et que les patientes ne sont pas capables de recevoir une chimiothérapie.
Fiche Cancer de l’endomètre
1112 oncologues recommandés par leurs pairs ont été identifiés par Concilio.