Maladie Hashimoto ou thyroïdite chronique lymphocytaire
La thyroïdite de Hashimoto ou maladie Hashimoto représente aujourd’hui environ 20% des personnes souffrant d’une maladie thyroïdienne.
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Aussi appelée thyroïdite chronique lymphocytaire, la thyroïdite de Hashimoto est une maladie auto-immune fréquente.
C’est d’ailleurs la première maladie auto-immune à avoir été reconnue (en 1957). En effet, cette pathologie souligne une problématique précise au niveau du système immunitaire : l’organisme considère la glande thyroïde comme un agent étranger. Cette glande subit alors les atteintes portées par les globules blancs.
En outre, ce dysfonctionnement touche principalement les femmes. Comme une grande majorité des maladies auto-immunes, la thyroïdite de Hashimoto est secondaire à un dérèglement du système immunitaire, causé lui-même par une agression d’origine virale, c’est-à-dire due à un virus.
Les principaux symptômes de la maladie de Hashimoto sont généralement :
La thyroïdite de Hashimoto se traduit normalement par la présence d’une hypothyroïdie. Cette condition dénote une baisse du niveau d’hormones thyroïdiennes dans le sang. Chose troublante, le taux hormonal présente généralement une hausse au départ, c’est-à-dire une hyperthyroïdie qui n’est que transitoire.
De plus, les patients peuvent développer un goître, soit une augmentation du volume de la glande thyroïde. Lorsque ce goitre est compressif, le recours à la chirurgie est parfois nécessaire. En effet, ce gonflement constitue alors une gêne respiratoire ainsi que des difficultés de déglutition en l’occurrence.
En outre, cette excroissance a une consistance ferme et caoutchouteuse à la palpation.
Pourquoi être bien accompagné en cas de problème de maladie de Hashimoto
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Certains examens médicaux sont nécessaires pour établir un diagnostic probant.
On recherche d’abord des nodules et un goitre s’il n’est pas visible ou palpable. La présence de la thyroïdite de Hashimoto est probable, lorsque l’échographie montre l’image d’une thyroïde hétérogène et hypoéchogène. La glande thyroïde est alors déformée.
Cette structure organique difficile renvoie alors de faibles ondes ultrasonores au cours d’une échographie, ce qui rend l’image difficile à interpréter.
En sus de l’échographie de la thyroïde révélant une inflammation de la glande, des examens sanguins cherchent une baisse des hormones thyroïdiennes (T3, T4) et une hausse de la TSH. Lorsque le patient est en euthyroïdie, son taux d’hormones thyroïdiennes sanguin est normal, ce qui retarde le diagnostic.
De plus, une scintigraphie peut être pratiquée en cas de doute diagnostic pour s’assurer de l’absence de nodules toxiques.
Fiche Thyroïdite de Hashimoto
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